Les Neuf Portes du Royaume des Ombres, "Umbrarum Regni Novem Portis". Il s'agirait d'un livre très rare que l'auteur, un espagnol du nom de Aristide Torchia, aurait écrit en se basant sur les gravures et les informations qu'il aurait trouvé dans un autre livre, le "Delomelanicon", ou invocation des Ténèbres.
Le nom Delomelanicon vient du grec "Delo" et signifie "appeler" et "melas", "ténèbres". Ce livre aurait été écrit par Lucifer après son expulsion du ciel.
A l'aide du texte approprié et des connaissances transmises, on pourrait, en se servant des gravures du livre, invoquer le Prince des ténèbres.
Le Delomelanicon a déjà été mentionné, entre autre, par le prophète Daniel, mais aussi par Hippocrates, Flavius Josephus, Albertus Magnus, et Leon III. La première mention directe se retrouve dans le papyrus de Turis, écrit il y a 3300 ans. Il est cité plusieurs fois dans le "corpus Hermeticum", dans "l'Asclemandres", et une copie se trouvait apparemment dans la bibliothèque d'Alexandrie (pas la vôtre Pascal).
Il semblerait que le roi Salomon en possédait également une copie qui aurait été brûlé en 1350 par ordre personnel de pape Innocent VI qui a simplement déclaré, "Ce livre contient une méthode pour appeler des diables".
C'est à Venise en 1666, qu'Aristide Torchia a reproduit neuf des gravures du célèbre "Delomelanicon" dans son livre intitulé "De Umbrarum Regni Novem Portis" qui signifie "le livre des neufs Portes du royaume des ténèbres".
Ce curieux livre porte la marque d'un serpent et d'un arbre fendu par la foudre.
Un an après avoir publié ce livre, l'atelier de Torchia a été détruit ainsi que tous les imprimés qui s'y trouvaient et ce dernier arrêté à Venise, a été torturée à Rome, puis brûlé le 17 février 1667 pour avoir pratiqué la magie et la sorcellerie. Au cours de son supplice, Torchia aurait avoué qu'il restait une copie du "livre des neuf portes du royaume des ténèbres" mais aurait refusé d'admettre où elle aurait été cachée.
Au fil des siècles, trois copies auraient été retrouvées. Il s'agirait d'un livre de Magie noire contenant 160 pages et 9 illustrations. L'une de ses copies a été achetée par la Baronne Ungern en 1949 et serait maintenant dans la bibliothèque d'Ungern à Paris.
Le film "La Neuvième Porte" de Roman Polanski, avec Johnny Deep, d'après le roman d'Arturo Perez-Reverte "Le Club Dumas" est tiré de cette histoire.
Les Neuf Portes du Royaume des Ombres, "Umbrarum Regni Novem Portis". Il s'agirait d'un livre très rare que l'auteur, un espagnol du nom de Aristide Torchia, aurait écrit en se basant sur les gravures et les informations qu'il aurait trouvé dans un autre livre, le "Delomelanicon", ou invocation des Ténèbres.
Remarquable sélection commentée de ressources accessibles par Internet, choisies par les bibliothécaires de la BnF.
Passionnant entretien avec Roger Chartier (Collège de France) sur les nouvelles formes du livre et les bouleversements qui en découlent.
DIDEROT ET D’ALEMBERT.
Le 28 avril 2008 chez Cristie's "La Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France" de Blaise Cendrars (1887-1961) illustré par Delaunay, Paris: Éditions des Hommes Nouveaux, 1913, s'est vendu 162 250 €. Il s'agit d 'un record pour un exemplaire sans envoi sur simili-japon.
Amazon said late Friday that it recalled two Kindle e-books because the publisher lacked the rights to the book. However, in the future, it says it won't pull already downloaded material from customers' devices.
En mai 1798, le général Bonaparte embarque à Toulon pour l'expédition।Au millier de soldats s'ajoute un bataillon de 160 civils, l'élite scientifique et intellectuelle du Directoire -- du mathématicien Monge au chimiste Berthollet, du zoologiste Geoffroy Saint-Hilaire à l'écrivain Vivant Denon, futur directeur du Louvre. Au Caire, ces savants fondent l'institut d'Egypte, engrangeant une moisson d'informations sur les « antiquités », l'« Etat moderne », l'« histoire naturelle ». Au final, une somme de 7 000 pages, illustrées de plus de 800 planches superbement gravées. Le premier des 20 volumes de ce trésor éditorial paraît, aux frais de l'Etat, en 1809. Pour célébrer ce bicentenaire, l'exposition aménagée sous le dôme des Invalides présente quelques planches -- trop peu, faute d'espace. Face à ce trophée culturel, même le lourd tombeau de porphyre rouge renfermant les cendres de l'Empereur, dans la crypte en contrebas, ne fait pas le poids.